En voilà un que beaucoup d’entre nous connaissent 🙂
Qui peut se targuer de ne l’avoir jamais fréquenté au cours de sa vie 🙂 ?
Dans le cas du grignotage, les quantités sont souvent moindres (par rapport à l’hyperphagie et à la boulimie) mais par contre, la prise est plus régulière et peut ponctuer la journée comme la soirée voire la nuit pour certains.
Ce petit emmerdeur au poids est souvent associé à l’ennui, l’anxiété, le stress, voire l’angoisse… Qui peut se targuer de ne l’avoir jamais connu au cours de sa vie 😉 ?
Tant qu’il reste ponctuel, il ne prête pas vraiment à conséquence ; ce n’est que s’il devient compulsif et automatique qu’il faut s’en interroger et travailler sur ses raisons.
En effet, ces petites quantités piquées de-ci, de-là, entraînent parfois en fin de journée un apport calorique qui peut être considérable.
Que grignote-t-on ?
Souvent ce qui est le plus facile d’accès, que ce soit salé ou sucré, a priori, peu de sélection.
Maintenant, il y a ceux qui sont clairement addicts à l’une ou l’autre de ses saveurs !
Les addicts du sucre :
Sont le plus souvent des femmes (mais pas que 😉
L’absorption est là aussi liée à l’ennui, au stress, mais aussi aux périodes des règles, aux périodes hivernales, …
La baisse d’énergie est très souvent évoquée, comme si la consommation d’aliments sucrés donnait l’impression de refaire le plein, d’avoir un petit coup de fouet !
A noter que tous les grands consommateurs de sucre ne sont pas obèses car souvent leurs repas sont moindres que pour la plupart des gens.
Petite note particulière pour la chocolactomanie :
Pour certains individus, seul le chocolat est consommé en guise de petite douceur.
Il est perçu alors comme un stimulant et comme ayant des vertus antidépressives (encore faut-il le manger particulièrement noir ;-).
Excès d’aliments salés
Grosso modo, les raisons qui poussent à des grignotages salés sont assez semblables que pour le sucre, c’est juste une question de choix, de goût.
Je profite de cet article pour faire un petit aparté sur ce que l’on nomme le craving.
Le craving est aussi une compulsion mais avec une envie impérieuse de manger un type d’aliment bien particulier. Cet attrait bien précis a pour conséquence que si cet aliment là n’est pas présent, il y a apparition d’anxiété.
Il est aussi favorisé par l’anxiété, la dépression, une alimentation déstructurée.
Vous avez des questions ? N’hésitez pas, postez-les ou envoyez-moi un message perso !
Douce journée !
Florence
Pour potentialiser votre bien-être et vous aider à devenir la meilleure version de vous-même.